“J’ai écrit aussi la préface du “Mensonge d’Ulysse”. C’est la seule chose de propre et d’honnête que j’ai faite dans ma vie aussi j’ai attrapé 8 jours de prison et 900.000 Frs d’amende.” Albert Paraz à Mr R. Margerit, le 30 mai 1952.
On aurait bien voulu dissocier Jacques Aboucaya (Paraz, le rebelle, L’Age d’Homme, en particulier pp. 117-121) de la cohorte chassieuse des falsificateurs, la mesquine conjuration des universitaires aigris s’acharnant à salir Paul Rassinier, mais rien n’y fait : les passages qu’il consacre à la relation entre ce dernier et Albert Paraz sont bien dignes des Fresco, Brayard, Igounet… Continue reading